Gran Paradiso / 20-21 Août 2014
Après deux jours à naviguer autour de la Mer de Glace, nous prenons la direction du Val d'Aoste pour gravir le Grand Paradis, qui devait être le sommet d'entrainement avant l'enchaînement dans le Mont-Rose... Bien que facile, cette course de neige semblait magnifique!
La montée au refuge est une véritable autoroute, avec un sentier véritablement pavé qui serpente dans un premier temps dans la forêt puis dans les alpages. Nous entamons la montée peu avant 16h et arrivons au refuge 1h30 plus tard. Les sacs sont lourds, nous pourrions nourrir tout le refuge avec ce qu'ils contiennent, l'objectif du week-end: profiter, s'amuser et bien sûr le sommet! Bien que n'étant pas des plus esthétique en montagne, nous avons la chance d'avoir notre propre dortoir "préfa" pour la nuit, dans laquelle nous pouvons laisser nos affaire pendant la course du lendemain, ce qui était très agréable. Les prix sont incroyablement bas pour un refuge, et malgré la taille conséquente de celui-ci, il est plutôt agréable.
C'est donc armé de nos deux réchauds (pour 4...) et opinels que nous attaquons notre festin, sous les yeux ébahis des autres personnes présentent au refuge ce soir là, dont la demi-pension était certainement moins copieuse! Nous réviserons plus tard l'alimentation en montagne!
La montée au refuge est une véritable autoroute, avec un sentier véritablement pavé qui serpente dans un premier temps dans la forêt puis dans les alpages. Nous entamons la montée peu avant 16h et arrivons au refuge 1h30 plus tard. Les sacs sont lourds, nous pourrions nourrir tout le refuge avec ce qu'ils contiennent, l'objectif du week-end: profiter, s'amuser et bien sûr le sommet! Bien que n'étant pas des plus esthétique en montagne, nous avons la chance d'avoir notre propre dortoir "préfa" pour la nuit, dans laquelle nous pouvons laisser nos affaire pendant la course du lendemain, ce qui était très agréable. Les prix sont incroyablement bas pour un refuge, et malgré la taille conséquente de celui-ci, il est plutôt agréable.
C'est donc armé de nos deux réchauds (pour 4...) et opinels que nous attaquons notre festin, sous les yeux ébahis des autres personnes présentent au refuge ce soir là, dont la demi-pension était certainement moins copieuse! Nous réviserons plus tard l'alimentation en montagne!
Nous partons à 4h30 du refuge, loin d'être les premiers malgré nos résolutions de la veille. La montée dans un premier temps dans les cailloux ne pose pas de problèmes, puis il est temps de s'équiper en arrivant dans la partie en neige, qui est dans un premier temps assez raide. Nous arrivons au sommet à 8h30, où la (sur)fréquentation est très désagréable, ce qui d'après moi gâchera ce sommet qui est vraiment magnifique. Le passage rocheux, bien que sans difficulté, peut être impressionnant pour les personnes pour qui ce sommet est bien souvent la première expérience alpine. Impossible de doubler sur cette dernière partie, les guides poussent, seuls certains feront preuve de bon sens... Le temps de prendre une photo puis nous nous éloignons et commençons la descente avec un vent saisissant!
Pour conclure, le Grand Paradis reste une belle course dans un Val d'Aoste dont je suis véritablement devenu fan. Sa monotonie en font cependant un sommet qu'il est certainement préférable de faire en ski de rando, évitant ainsi la fréquentation estivale.
Pour conclure, le Grand Paradis reste une belle course dans un Val d'Aoste dont je suis véritablement devenu fan. Sa monotonie en font cependant un sommet qu'il est certainement préférable de faire en ski de rando, évitant ainsi la fréquentation estivale.